7 juin 2021
Metaclassique, en dialogue avec le Centre Européen de Musique, présente le podcast ''vénérer'', premier d'une série d'émissions à découvrir tout au long de l'année. En cette année de bicentenaire de la naissance de cette immense artiste (18 juillet 1821) découvrez sa riche histoire.
Fille de Manuel Garcia, sœur de la Malibran, élève de Franz Liszt, amie de Chopin, de George Sand, mais encore de Delacroix, Rossini, Wagner, Clara Schumann et Ivan Tourgueniev, pour ne citer qu’eux. Pauline Viardot a été abondamment vénérée. Sans doute est-elle encore éminemment vénérable. Mais alors que l’on célèbre, en 2021, le bicentenaire de sa naissance, elle reste relativement oubliée.
Un exercice de vénération
C’est donc à un exercice de vénération que va se livrer Metaclassique en dialogue avec le Centre Européen de Musique. C’est bien ça, nous allons vénérer celle que Clara Schumann reconnaissant comme « La femme la plus géniale qu’il m’ait été donné de connaître. », en compagnie du chanteur et président du Centre européen de musique, Jorge Chaminé, de la chanteuse Felicity Lott, de l’historien Thomas Cousin qui prépare une thèse sur Pauline Viardot et de l’arrière-arrière petite-fille de Pauline Viardot, Sandra Mamboury qui vit à Genève et avec qui nous nous connecterons en fin d’émission.
C’est avec l’idée qu’en plus d’une cantatrice adulée du 19ème siècle, Pauline Garcia Viardot pourrait être une figure repère pour monter ce que peut être l’idée d’Europe en musique que nous avons conçu cette première émission avec le Centre européen de musique – que l’on commence par un air abondamment chanté par le père de Pauline, Manuel Garcia, Yo que soy contrabandista.
Une émission produite et réalisée par David Christoffel en dialogue avec le Centre Européen de Musique.
A lire : la ville de Paris renomme un espace au nom de Pauline Viardot
7 juin 2021
Metaclassique, en dialogue avec le Centre Européen de Musique, présente le podcast ''vénérer'', premier d'une série d'émissions à découvrir tout au long de l'année. En cette année de bicentenaire de la naissance de cette immense artiste (18 juillet 1821) découvrez sa riche histoire.
Fille de Manuel Garcia, sœur de la Malibran, élève de Franz Liszt, amie de Chopin, de George Sand, mais encore de Delacroix, Rossini, Wagner, Clara Schumann et Ivan Tourgueniev, pour ne citer qu’eux. Pauline Viardot a été abondamment vénérée. Sans doute est-elle encore éminemment vénérable. Mais alors que l’on célèbre, en 2021, le bicentenaire de sa naissance, elle reste relativement oubliée.
Un exercice de vénération
C’est donc à un exercice de vénération que va se livrer Metaclassique en dialogue avec le Centre Européen de Musique. C’est bien ça, nous allons vénérer celle que Clara Schumann reconnaissant comme « La femme la plus géniale qu’il m’ait été donné de connaître. », en compagnie du chanteur et président du Centre européen de musique, Jorge Chaminé, de la chanteuse Felicity Lott, de l’historien Thomas Cousin qui prépare une thèse sur Pauline Viardot et de l’arrière-arrière petite-fille de Pauline Viardot, Sandra Mamboury qui vit à Genève et avec qui nous nous connecterons en fin d’émission.
C’est avec l’idée qu’en plus d’une cantatrice adulée du 19ème siècle, Pauline Garcia Viardot pourrait être une figure repère pour monter ce que peut être l’idée d’Europe en musique que nous avons conçu cette première émission avec le Centre européen de musique – que l’on commence par un air abondamment chanté par le père de Pauline, Manuel Garcia, Yo que soy contrabandista.
Une émission produite et réalisée par David Christoffel en dialogue avec le Centre Européen de Musique.
A lire : la ville de Paris renomme un espace au nom de Pauline Viardot